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jeudi 29 octobre 2009

"BLACKHAWK !" STOMP II : Medic' bag

Bretelles ergonomiques...
Look & volume...

Modularité...


Pochettes amovibles...



Poignée de portage...
Un savant mélange de robustesse et fonctionnalité caractérise ce sac à dos, créé à l'origine pour répondre à un cahier des charges précis, celui des équipes médicales spécialisées des fameux Navy SEALS.

D'une solidité à toute épreuve, ce sac à dos initialement prévu pour l'emport de matériel spécifique, peut également être destiné à transporter divers équipements de transmission, armements légers, appareillages d'observation...
D'une contenance appréciable, des sangles latérales autorisent la suspension de charges supplémentaires.
Ce sac confortable aux multiples réglages (poitrine, ceinture, épaules), présente l' avantage d'être extrêmement anatomique, et d'offrir ainsi une liberté de mouvement non négligeable dans le feu de l'action...
Une quantité incroyable de compartiments, pochettes, rangements, filets, porte-documents, parsèment ce sac très bien pensé. Un emplacement pour poche à eau est aussi présent.
Deux grandes pochettes additionnelles amovibles aux anses rouge et bleue permettent de distinguer immédiatement le matériel nécessaire, même dans une faible obscurité. Ces deux pochettes contiennent pour l'une des rangements et accroches, pour la seconde des mousses destinées à accueillir sérums, vaccins, éléments fragiles ou sensibles... L'intégralité des "tirettes" sont silencieuses, les "zips" sont ultra-souples, pour davantage de discrétion.
Ce "medical bag" peut s'avérer d'une prodigieuse efficacité en intervention, en mission de reconnaissance comme en excursion, tout en offrant une capacité de rangement modulaire judicieuse et pratique.
Sa puissante poignée de maintien permet de le porter tout aussi bien discrètement à la main, tel un bagage dans un aéroport ou une gare...
"BLACKHAWK !" rivalise d'ingéniosité pratique pour offrir avec ce sac, un assemblage digne des plus hauts standards de la marque US...
Une belle réussite !

Magasin U.S.M.C : Porte d'Orléans, 4 rue Louis Lejeune, Montrouge 92120.

Tél : 01.49.85.69.35.

U.S.M.C sera présent au salon MILIPOL, du 17 au 20 novembre 2009.

dimanche 18 octobre 2009

Lampe Raptor Ledwave.

Puissance et
fonctionnalité... Prise en main précise
à 3 doigts...

Dans le registre des lampes tactiques performantes, la marque RAPTOR présente un excellent modèle "Ledwave", soigneusement élaboré pour répondre à des usages intensifs, professionnels & outdoor.
D'une prise en main confortable et sécurisante, compacte et légère, la Raptor est bien destinée à servir dans les situations les plus inattendues. A souligner l'effet "stroboscopic" éblouissant, prévu pour désorienter d'éventuels agresseurs ou suspects. A ce titre la Raptor décline également à son extrémité, de discrètes crénelures aux angles arrondis, lui conférant une surface d'impact non négligeable en guise d'objet de défense improvisé (impact-tool)...
D'un assemblage fiable en "aerospace grade aluminium", l'ensemble présente de belles finitions pour une meilleure ergonomie. La lentille est également conçue pour résister aux chocs. Ce modèle accompagnera sur le terrain les plus exigeants d'entre vous qui souhaitent se munir d'un éclairage performant et fonctionnel.
Un solide dispositif en caoutchouc intégré sur le corps de la lampe autorise une prise en main de type "seringue" à trois doigts, offrant une meilleure précision dans certaines situations.

Caractéristiques :
  • Puissance Led : de 85 à 110 lumens.
  • Longueur : 13,5 cm.
  • Poids avec piles : 150 g.
  • Autonomie : prévue pour 120 minutes en usage continu.
  • Couleur de la Led : blanche, vert ou rouge.
  • Batteries : 2 CR123A Lithium.
  • Accessoires : filtres de couleur, support carabine, cable interrupteur, batterie rechargeable & chargeur ACU.


Pour davantage d'informations, contactez l'équipe de chez U.S.M.C.

U.S.M.C. : 4 rue Louis Lejeune (Porte d'Orléans) à Montrouge (92), tél : 01.49.85.69.35.

mercredi 14 octobre 2009

CNIL : comment sécuriser vos informations.


La C.N.I.L. vous propose 10 conseils pour sécuriser votre système d'information :

  1. Adopter une politique de mot de passe rigoureuse.
  2. Concevoir une procédure de création et de suppression de comptes utilisateurs.
  3. Sécuriser les postes de travail.
  4. Identifier précisément qui peut avoir accès aux fichiers.
  5. Veiller à la confidentialité des données vis-àvis des prestataires.
  6. Sécuriser le réseau local.
  7. Sécuriser l'accès physique aux locaux.
  8. Anticiper le risque de perte ou de divulgation des données.
  9. Anticiper et formaliser une politique de sécurité du système d'information.
  10. Sensibiliser les utilisateurs aux "risques informatiques" et à la loi "informatique et libertés" !

Pertinents, simples et emprunts de bon sens, ces conseils devraient accompagner vos pérégrinations sur la "toile" avec davantage de sérénité !

Pour en savoir plus.

Présentation de la C.N.I.L.

Remerciements : F.R.

dimanche 11 octobre 2009

Jim bowie, la naissance du mythe.


James BOWIE naquit dans le Kentucky en 1796. Il passa une grande partie de sa jeunesse en Louisianne où une solide réputation de féroce bagarreur sans peur et sans reproche l'auréola au fil du temps.
Courageux soldat au caractère très affirmé, il refusait rarement d'en découdre afin de défendre des questions d'honneur ou de dignité. Il noua des relations avec la communauté indienne et vécut l'aventure de l'ouest américain telle qu'on peut l'imaginer : chercheur d'or, volontaire engagé dans la guerre d'indépendance pour le Texas, frontierman, duelliste et combattant extraordinaire !
Alors qu'il failli perdre la vie en prenant part à une rixe où il ne put déployer correctement un couteau pliant, son frère lui offrit une lame qui entra dans la légende...

Cette grande lame fixe accompagna Jim Bowie toute sa vie durant, marquant sur son passage les esprits, les opposants et les agresseurs...
Il perdit la vie le 6 mars 1836, aux côtés de Davy Crockett et du colonel Travis dans la non moins célèbre bataille d'Alamo. Atteint de pneumonie, affaibli et alité dans sa chambre, Jim Bowie succomba aux attaques des assaillants mexicains après avoir fait usage de ses revolvers dans un ultime élan de résistance !

Plus qu'un symbole, le couteau de Jim Bowie devint un modèle du genre ! Une lame fonctionnelle, longue de 10 à 15 pouces, large et dotée d' une double garde, avec une géométrie de lame à la courbure bien caractéristique. Bref, un grand couteau de type "Camp'knife", qui de surcroît s'avérait très efficace en combat.
Difficile de découvrir avec précisions les modifications réalisées par Jim Bowie sur son fameux couteau, ni d'appréhender les réelles qualités pugilistiques de Jim Bowie. Certains prétendent qu'il eu plusieurs lames du même type. Son fabuleux couteau disparut avec lui le jour de sa mort, et ne devait jamais être retrouvé...

De l'épopée au mythe, la lame "bowie" figure désormais comme un symbole chargé d'histoire !

Quelques liens retraçant l'épopée du héros :

samedi 10 octobre 2009

Surprotection, éloge de la simplicité !

Le crotale et sa
"sonette", gadget
ou protection ?...
A trop vouloir étendre sa protection à ses biens, à ses activités, ou à ses données personnelles, on fini, pour les citoyens lambda que nous sommes (attention à la nuance avec contribuables comme dirait A.B.), à en devenir ridiculement désolants...voir même paranos parfois.


Retranchés derrière des idées de protectionnisme exacerbées ou des sentiments de craintes peu justifiées, la meilleure assurance est celle que vous payez avec un contrat multi-risques fiable, quelques soient vos activités, ou celle qui se dégage de votre personne lorsque vous respirez à pleins poumons !

Et quand trop chercher à se protéger devient une obsession, un mode de pensée, il est temps de prendre conscience des pièges liés à l'illusion de sécurité, au sensationnalisme de mode et au côté mercantile de propagande.
Alors quand quelques règles élémentaires de prudence suffisent à permettre de vivre sereinement et émancipé dans un environnement social normalisé, sans chaos ni heurts. Quelle est la nécessité de présenter des "T.O.C." de la "surprotection ? A trop vouloir "protéger", on fini par en oublier l'essentiel, l'être et le devenir !!

A titre d'exemple, comme je citais Nicole Viloteau* dans Protegor : "Je préfère envisager le pire pour découvrir le meilleur." , il est intéressant d'observer à quel point cette femme d'exception s'aventurait seule en pleine brousse au milieu de reptiles réputés dangereux, avec d'infimes précautions, très peu de matériel, mais un sens aigu de la survie !


Avant de penser à vous sur(protéger), en utilisant des accessoires ou gadgets, pensez déjà à acquérir de l'expérience... et du bon sens. Mais rassurez-vous, à grand renfort de pratiques, de rencontres et d'échanges, la simplicité reprend ses droits sur le superficiel...

*Nicole Viloteau (la femme aux serpents), dont j'ai dévoré les récits & aventures, est une erpétologiste photo-reporter qui dédie sa vie à l'observation et l'étude de nos amis reptiliens.

jeudi 8 octobre 2009

Neck bowie, by Fred Perrin.

Lame d'automne...
Des arguments
tranchants...

Robustesse...Fred Perrin présente son nouveau "neck bowie*", formidable lame utilitaire au tempérament fier et racé.

Ce couteau est une déclinaison semi-industrielle issu de la production de Fred. Parfait connaisseur et expérimentateur de lames tactiques aux profils discrets et compacts, Fred a souhaité développer un petit couteau à lame fixe, léger et fonctionnel pouvant s'affranchir des tâches utilitaires les plus courantes...
Disposé sous une chemise ou au fond d'une poche (sac à dos..), cette fine lame s'extrait facilement de son étui kydex, avec une prise en main optimale.

Caractéristiques du neck bowie :
  • Longeur totale : 15 cm.
  • Lame : 6,5 cm.
  • Epaisseur : 3mm.
  • Poids : 40 g.
  • Acier inox 12c27.
D'un rapport qualité-prix intéressant, cette petite lame s'emporte partout et très facilement.
Son affûtage a été assuré par le maître coutelier, et même après bien des épreuves, le neck bowie conserve de surprenantes qualités de coupe.
Solide & résistant (traction, oxydation), le neck bowie est une déclinaison ingénieuse et digne de la version custom.

Lors de son récent séjour aux U.S.A., Fred présentait le neck bowie aux aficionados américains : Fred Perrin en démo.
Retrouvez la production de Fred Perrin sur Le site Bladecraft

* à venir, un article sur James Bowie, la naissance du mythe.

lundi 5 octobre 2009

Voyage au centre de l'interne...


Cet article aurait pu s'intituler "A la recherche du temps perdu...", mais rien ne se perd si l'on prend l'expérience comme enseignement !


Après avoir exploré, parfois pendant de longues années, différents courants de méthodes de combat dites "externes", privilégiant des entraînements physiques et psychologiques "rudes", destinés à forger le corps et l'esprit, je nourrissais l'envie d'explorer des aspects plus énergétiques et éminemment pragmatiques, afin de compléter ma formation et de découvrir des horizons aux vastes étendues.


Dans un premier temps, au delà des clichés qu'un pratiquant d'art martiaux et de self défense peut se représenter des arts martiaux dits "internes", je tentais de me documenter sur les familles et enseignements distillés çà et là aux profanes. De lectures en échanges et d'échanges en rencontres, je finissais par découvrir un enseignant pour le moins vraiment génial, lequel devait me permettre de découvrir avec grand intérêt, une infime partie de son savoir. Ce type de rencontre est une véritable "chance" sur un parcours tel que le mien.


L'interne c'est quoi ? Une pratique ascétique et douce permettant de se détendre, de se relaxer et d'être en meilleure santé ?


Hum, pas seulement... L'ascétisme n'est pas de rigueur, seul la pratique prime, mais pas n'importe comment. Mieux vaut faire moins mais bien que trop mais de façon incorrecte.


Les ressources insoupçonnées de styles chinois tels que le Xin Gyi, le Ba Gua ou le Tai Chi, sont surprenantes. A la fois méthodes de combat efficaces et destinées à procurer au pratiquant une forme de corps et d'action , ces méthodes contiennent également une culture de l'énergie, de la fusion corps-esprit, de l'économie de mouvement, ou encore de l'affûtage de la perception et de l'intention !!


Comprendre pour mieux agir, découvrir ses propres ressources à travers un entraînement adapté, précis, ouvert et destiné à déverrouiller les barrières d'une culture physique & martiale trop prononcée, voilà ce que propose le travail des arts martiaux chinois. Prenez garde cependant à distinguer le bon grain de l'ivraie, car comme pour toute discipline martiale, le charlatanisme et le sensationnalisme sont des écueils à éviter !

Au début, mieux vaut tout abandonner, ne pas s'ancrer trop facilement dans ses pratiques passées, afin d'éviter d' utiliser ses acquis. Et là, à force de travail, de persévérance et de confiance, l'alchimie se produit. De sensations en réactions, une façon de faire qui a transcendé les âges surgit, s'assimile lentement, très lentement, pour venir rapidement submerger des conditionnements ou pratiques, certes utiles sur du court ou du moyen terme, mais certainement réduites et inappropriées sur du long terme. Une forme de pratique digne de ce nom devient alors accessible, mais cela seul le professeur pourra vous y conduire...ou vous éconduire...à ce titre il est dit qu'il est très difficile de trouver un bon professeur, mais si facile de le perdre !
Et sans tomber béatement dans un prosélytisme dénué de sagacité, le professeur doit être considéré avec respect et attention, et pas seulement en tant que gardien d'une tradition.
Lorsque j'observe mon professeur, que je l'écoute, mille pensées relatives à mes pratiques passées ressurgissent. Au début, telle explication ou technique me rappelait tel concept abordé (effleuré) ci et là. L'endurcissement, les applications et les sensations prennent alors une toute autre ampleur... A force de se taire on réalise que l'on apprend, que l'on assimile une essence, une voix, qui sait, si nécessaire, se révéler prodigieusement efficace.
Apprendre à détruire son prochain (même légitimement) n'a qu'une finalité réduite et malsaine. Apprendre à devenir meilleur pour soi et pour les autres, tout en sachant préserver sa vie et celle des autres, là est le mystère d'un art et d'une tradition !
A chacun(e) d'y trouver son intérêt !