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jeudi 17 décembre 2009

Sitka Maxpedition, prêt pour l'aventure !

Paré pour l'abordage !
Vue d'ensemble...
Rangements
astucieux...
Rapidité d'accés...Compartiments
internes...
Un sac à toutes épreuves...

Maxpedition est le leader incontestable en matière de sacs utilitaires polyvalents et fonctionnels alliant ingéniosité de rangement & robustesse de conception.
La marque US n'a pas son pareil pour créer des équipements à la modularité exemplaire pour compartimenter intelligemment tout son matériel.
Le Sitka est un sac de type mono-bretelle récent. La large et résistante bretelle principale peut être renforcée d'une seconde anse d'attache ventrale rétractable (et dissimulable dans la poche arrière), afin de doter ce sac à dos d'un maintien ferme et sûr en mode randonnée ou crapahute !
Les ouvertures sont adaptées pour favoriser des accès rapides aux poches principales. Les zips sont ultras fluides & solides (rapidité d'ouverture dans l'urgence), de la paracorde et des points d'accroche sont prévus sur l'ensemble du sac, le tout disposé sans fioritures, là où nécessité se fait. La poignée principale (renforcée) de type "grab & go" est rudement pratique pour saisir son sac efficacement ou le porter à la main le long du corps.
Les nombreux accès sont ainsi facilités quelque soit la position du sac à dos ou de son porteur (en action, debout en marchant, assis en voiture, lors de mouvements de foule...).
Car la principale particularité du Sitka, est d'être un sac à dos en mouvement !
En effet, le Sika est prévu pour pivoter de l'arrière vers l'avant très facilement, en fonction des situations & des besoins. Cette rotation extrêmement pratique peut s'opérer en utilisant la discrète sangle disposée à cet effet qu'il suffit de saisir de la main droite, à hauteur de la zone lombaire...
Ce mode de port ventral convient très bien dans les transports en commun, dans les endroits sujets aux mouvements de foule (protection ventrale et sécurisation de son équipement). En position d'attente dans une aérogare, une station de métro, etc, la position ventrale avec une main apposée sur le sac est vraiment idéale pour s'assurer que personne n'attente au contenu de votre sac !
Résolument adapté à un mode de port urbain, sa forme compacte longitudinale et ses mensurations (50 cm de hauteur & de 30 cm de largeur environ), en font un sac idéal dès qu'il s'agit d'emporter en toute sécurité et dans n'importe quelle condition ses équipements et EDC favoris.

Une poche dorsale destinée à accueillir une poche à eau de type Camelback est également disponible et peut faire office de rangement pour des documents, livres, etc...
Un emplacement latéral (avec cordon de serrage), disposé sur la droite du Sitka, facilite l'emport d'une grande bouteille d'eau, d'un récipient de type Nalgene ou d'autres équipements selon vos besoins.

Les deux poches frontales superposées déclinent des systèmes de rangement judicieux permettant de caler, d'amarrer son petit matériel, et de ranger idéalement ses objets en fonction de leurs usages et de l'accès qu'on leur réserve. Des poches discrètes pour ne pas dire dissimulée sont également disposées sur le Sitka.D'autres emplacements plus spécifiques sont également prévus pour des usages professionnels...

Bref un sac Maxpedition novateur et terriblement pratique, à découvrir de toute urgence !!

Pour toute information concernant la gamme Maxpedition, contactez OPS EQUIPEMENT :
OPS EQUIPEMENT, 11 avenue de Castres , 81210 Roquecourbe, tél : 09. 77.37.59.98.

dimanche 6 décembre 2009

Une autre vision de la self...

Training into the wild...
Apprendre à se défendre ou apprendre à éviter les situations d'agression ?
Vaste thème de discussion qui n'a pour but ici, que de vous faire réfléchir sur le choix d'une discipline, d'un professeur, et sur la nécessite d'un investissement minimum dans votre pratique.
Choisir de pratiquer une discipline dite de "combat" peut s'effectuer par le biais de sports de combat (boxes, luttes), de pratiques dites "traditionnelles" (arts martiaux classiques asiatiques ou autres), ou de disciplines pragmatiques dites de "self défense".
Le plus important dans ces choix à concevoir, c'est le cursus...le vôtre dans un premier temps, celui de l'enseignant ensuite !
Le cursus, c'est votre parcours, jonché d'écueils, d'épreuves, de renoncements, de rencontres et de passion. A force de pratiquer au fil des ans, si le feu de la passion reste attisé, les orientations deviennent naturellement nécessaires. On affine sa pratique comme on affine ses choix !
A trop vouloir y croire on peut aussi s'égarer en chemin, faire de mauvaises rencontres ou perdre du temps et de l'énergie. Mais nous verrons plus tard que chaque erreur est aussi source de progression.
Lorsque des pratiquants sincères d'arts martiaux font l'amer constat de leur inefficacité en situation d'altercation, de conflit ou d'agression, on atteint les limites d'un système d'enseignement qui vise à rassurer le pratiquant dans sa pratique tout en l'aveuglant d'illusions face au monde réel.
La self défense est devenue un fourre-tout, un axe de développement lucratif pour certains, un refuge pour les autres. Pratiquer un art martial sans être en mesure d'assurer un minimum sa sécurité (sa survie) ou celle des autres (proches) est une utopie. Un peu comme un tennisman qui ne s'entraînerait que pour apprendre à faire des pas chassés sur le court afin d'être plus détendu dans la vie, ou comme un pilote de rallye qui privilégierait ce sport mécanique uniquement pour les bienfaits de sa préparation en sophrologie...
Dans les arts martiaux originels, le but ultime n'était pas de se divertir, de se soigner ou de faire semblant d'affronter ses peurs et ses doutes, mais bien de trouver les outils fonctionnels pour lutter, résister et si possible vaincre... La différence est abyssale entre une pratique de développement personnel qui s'inspire des arts martiaux, et une pratique efficace et lucide destinée à forger le corps & l'esprit. Attention également aux dérives...et aux leurres !
Ces dérives surviennent lorsque votre enseignant tronque tout ou partie du message qu'il vous communique afin de vous manipuler ou d'orienter vos choix. Par ignorance ou par facilité. Le libre arbitre est de rigueur, sans cette liberté de pensée, vous bâillonnez votre spontanéité d'action. On peut figer dans un moule quantité de pratiquants sincères et motivés. Et sans entrer dans des considérations de manipulation de masse ou d'élèves, il est cependant nettement plus intéressant de délivrer à quelques individus les clefs & mécanismes qui leur permettront de trouver leur propre efficacité. Néanmoins cela nécessite plus de temps...et de sincérité. Ce travail peut s'apparenter à celui d'un "coach" qui s'adressera "finement" à quelques élèves pour les faire travailler qualitativement. Le professeur devient un guide que notre propre cursus valide inconsciemment (eurêka, j'ai trouvé !).
Mais auparavant, dans les vertes années d'une pratique fougueuse, il n'est pas inutile d'expérimenter les sensations du sport à outrance, du renforcement musculaire, des limites de son cardio, de sa capacité à endurer sans peur & sans reproche. Cette étape n'est pas obligatoire, mais elle permet pour la suite d'éviter quelques illusions. "On n'est pas ce qu'on croit mais ce qu'on sait " dixit Neo dans Matrix...
Pour en revenir à notre thème, il est primordial de savoir quelles sont les raisons profondes qui nous poussent à pratiquer (besoin de sécurité, confiance en soi, rapidité & puissance, thérapie, santé...), et de définir une progression conforme à ses aspirations : quête personnelle, spirituelle, performances physiques, relâchement, détente, bien être...).
S'exercer à un art martial durant des années sans être en mesure d'agir (ou ne pas agir en fonction de la situation) dans la vraie vie, est un non-sens. Le chemin emprunté peut mener à bien des destinations, mais ne vous leurrez pas, les Traditions ne nous ont pas légués leurs patrimoines pour spéculer, analyser ou faire semblant.
Dans cet ensemble qui porte l'étiquette "self défense", il est impératif de rester lucide et de faire preuve de bon sens...Sachez distinguer le bon grain de l'ivraie, car "mûrir" est le fruit d'une authentique pratique des arts de combats !

jeudi 3 décembre 2009

Fred Perrin & ses kiridashis.

Photo de famille...
Compacité & échelle...
En 2001, Fred Perrin créait un petit couteau à lame fixe destiné à servir de façon pragmatique son heureux possesseur.

Sur la première photographie ci-dessus, nous pouvons distinguer par ordre d'apparition, le tout nouveau "mini kiridashi" ainsi que sa version originale. Ensuite nous avons un rare kiridashi en acier XC 75 comportant un manche en micarta noir.
L'ultime "kiri" représenté sur la photographie est l'un des tous premiers, qui vit le jour en version numérotée "custom", conçu en acier inoxydable...collector assurément !
La seconde photographie se veut représentative des dimensions du "mini kiri", disposé au dessus d'un Spyderco Lady Bug Sage, d'un mini "Bic" et d'une lampe Photon...

Le kiridashi doit ses origines aux talentueux luthiers japonais qui se livraient à de fins travaux de restauration, de sculpture, et de gravure...Ces artisans se devaient d'avoir des outils fiables et précis pour procéder à leurs oeuvres.
Le kirisashi est un fabuleux instrument à l'inégalable compacité...qui s'avère discret et maniable à souhait !

Fred Perrin souhaitait avant tout développer une lame réduite bénéficiant d'une prise en main sûre et efficace, destinée à servir en tant que formidable utilitaire, et envisagée telle un outil de défense en cas d'absolu nécessité.
Aujourd'hui Fred Perrin décline une nouvelle version revue et corrigée de son fameux kiridashi, à un prix des plus abordables, en acier 440 ou 12C27. Fred conçoit toujours des versions customs, en fonction de son inspiration ou de demandes particulières.

Cette production de "mini kiridashi" est réalisée en version "semi-indus" comme aime à le rappeler Fred, car bien que la fabrication initiale soit industrielle, les non moindres "finitions" sont assurées par le forgeron coutelier en personne. Cette gamme a le privilège de décliner une qualité de conception unique, tout comme pour La Griffe et le Shark.

Le mini kiridashi est la réplique réduite du kiridashi classique. La prise en main en reste toute aussi confortable et rassurante. Un pouvoir de coupe absolu dans quelques centimètres d'acier ! Il fallait y penser.

Caractéristiques :
  • Acier inoxydable robuste.
  • Prise en main remarquable.
  • Ergonomie & faible encombrement : 7 cm de longueur totale pour 2 cm de tranchant effectif.
  • Légèreté : 20 grammes.
  • Qualité de l'affûtage et facilité d'entretien.
  • Etui kydex ajustable avec une drisse de type paracorde.


Où trouver les couteaux de Fred Perrin :

* Boutique Armes Bastilles, adressez vous à Isidore, le patron des lieux.

* En ligne sur le site Bladecraft animé par Ian...

En attendant le prochain site "perso" de Fred Perrin !